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la verité se fait toujours ecrasé par le mensonge
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Messaggio la verité se fait toujours ecrasé par le mensonge 
vous etes horrible toutes et tous !!! vous rigolez avec moi quand vous vous faites chier .. et hop une fois que les autres sont là vous m'ignorez ... moi je dis honte à vous toutes et tous !!!

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Messaggio Re: la verité se fait toujours ecrasé par le mensonge 
djkonix ha scritto:
vous etes horrible toutes et tous !!! vous rigolez avec moi quand vous vous faites chier .. et hop une fois que les autres sont là vous m'ignorez ... moi je dis honte à vous toutes et tous !!!

snifffffffffffffffffff Crying or Very sad change de pseudo calimero

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Messaggio Re: la verité se fait toujours ecrasé par le mensonge 
BEYLA ha scritto:

snifffffffffffffffffff Crying or Very sad change de pseudo calimero


Caro!!! tu es re .. je suis trop content .. mouah mouah ..j'espère que tu vas bien ! gros bisous!

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Messaggio Re: la verité se fait toujours ecrasé par le mensonge 
Glory-Fr ha scritto:
BEYLA ha scritto:

snifffffffffffffffffff Crying or Very sad change de pseudo calimero


Caro!!! tu es re .. je suis trop content .. mouah mouah ..j'espère que tu vas bien ! gros bisous!

Pas trop le temps en ce moment j'ai donné explication à linoux beaucoup de souci la guerre est declaré je me bagarre un bordel ce monde mais je me marre bien j'espere juste etre plus présente apres le moi d'aout la encore quelques ennemis à abattre et je revient je pense a vous pas de soucis bisosus

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tu nous manques "beau cul" non "cul sublime"
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel cul,
Il faudrait sur le champ que je me le montrasse ! »
Amical : « mais il doit tremper bien des babasses : »
Descriptif : « c'est un mont ! ... c'est un val... j'en suis un cap !
Que dis-je, un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Curieux : « de quoi sert mon oblongue capsule ?
Si votre cul, madame, jamais pour moi ne recule ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux
Que maternellement vous vous préoccupâtes
De tendre mon perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, madame, lorsque vous le montrez,
La testostérone sort-elle de mon nez
Sans qu'un voisin ne crie planquez les cheminées ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre cul entraînée
Par ce choix, de tomber en avant sur mon vit ! »
Tendre : « faites-lui faire un petit parasol
De peur que ma couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous ton cul toute ta chair sur mon os ! »
Cavalier : « quoi, l'amie, ce cul est à la mode ?
Pour pendre mon sexe c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucune fesse ne peut, cul magistral,
M'envouter tout entier, excepté son égal ! »
Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « pour un culottier, quelle enseigne ! »
Lyrique : « est-ce une conque, suis-je un triton ? »
Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « souffrez, madame, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un cul ? Nanain !
C'est queuqu'melon géant ou ben queuqu'pastèque naine ! »
Militaire : « pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, madame, ce sera le beau lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce cul qui des traits de sa maîtresse
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, ma chère, j'aurais dit
Si j'avais un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Je n'en eus jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
eus-je, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eus pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je vous les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre vous les serve.


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Passer pour un idiot aux yeux d\'un imbécile est une volupté de fin gourmet.
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